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26 janvier 2011

Rien n'est plus fort que le rêve qui nous lie à jamais.

"Wilfrid, je te fais une promesse de chevalier :
Au-delà de nos catastrophes de coeurs,
Nous resterons fidèles l'un à l'autre.
Mon amitié pour toi est si grande
Que malgré toi
Je resterai ta force.
Ton amitié est si claire
Que tu n'as qu'à ouvrir la bouche
Pour que moi,
Pauvre rêve,
Je parte en voyage.
Wilfrid,
Rien n'est plus fort que le rêve qui nous lie à jamais."

‎(Wajdi Mouawad, Littoral)

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30 janvier 2010

Sagan

"On s'habitue aux défauts des autres quand on ne croit pas de son devoir de les corriger".

(Françoise Sagan, Bonjour tristesse, Chapitre 5)

30 décembre 2009

Yohji Yamamoto

"Le désirable est ce qui ne se voit pas. La beauté est dans l'imagination."

Yohji Yamamoto

30 décembre 2009

Arthur Rimbaud

"On n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans
Et qu'on a des tilleuls verts sur la promenade"

(Arthur Rimbaud, Le dormeur du Val)

30 décembre 2009

Jonas Mekas

"As I was moving ahead occasionally I saw brief glimpses of beauty."

(titre d'un film de Jonas Mekas)

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30 décembre 2009

le désenchantement

"Il y a des jours où les citrouilles ne sont que des citrouilles."

Philippe Delerm

30 décembre 2009

Gérard Garouste

"Je suis le fils d'un salopard qui m'aimait. Mon père était un marchand de meubles qui récupéra les biens des Juifs déportés. Mot par mot, il m'a fallu démonter cette grande duperie que fut mon éducation. A vingt-huit ans, j'ai connu un première crise de délire, puis d'autres. Je fais des séjours réguliers en hôpital psychiatrique.
Pas sûr que tout cela ait un rapport, mais l'enfance et la folie sont à mes trousses. Longtemps je n'ai été qu'une somme de questions. Aujourd'hui, j'ai soixante-trois ans, je ne suis pas un sage, je ne suis pas guéri, je suis peintre. Et je crois pouvoir transmettre ce que j'ai compris."

(Gérard Garouste, "L'intranquile, Autoportrait d'un fils, d'un peintre, d'un fou")

28 novembre 2009

Pina

Frau Bausch

tonight

MERCI

encore pour ces beaux rêves, ces images, ces sons, ces mélodies, dures, rudes, douces, berçantes, stimulantes, pénétrantes, envoûtantes.

Masurca Fogo

des flamands, des robes, des bises, des claques, des portés, des lâchés, un homme, une femme, des hommes, des femmes, de l'eau, un morse, du rire, courir, sauter, danser, répéter, s'amuser, et éclore...

On a tous envie d'éclore un jour.

(EG)

 

28 novembre 2009

Le puits de ta veste

S'accrocher

au

"V"

de ton col

et renifler toute la vie

dans

le

puits

de

ta

veste

qui m'aima si fort

(Olivier Saillard, "Mot-ifs")

28 novembre 2009

"A morte devagar"

> En premier lieu, j'avais publié ce texte, signé Pablo Neruda :

"Il meurt lentement
celui qui ne voyage pas,
celui qui ne lit pas,
celui qui n’écoute pas de musique,
celui qui ne sait pas trouver
grâce à ses yeux.
Il meurt lentement
celui qui détruit son amour-propre,
celui qui ne se laisse jamais aider.
Il meurt lentement
celui qui devient esclave de l'habitude
refaisant tous les jours les mêmes chemins,
celui qui ne change jamais de repère,
Ne se risque jamais à changer la couleur
de ses vêtements
Ou qui ne parle jamais à un inconnu
Il meurt lentement
celui qui évite la passion
et son tourbillon d'émotions
celles qui redonnent la lumière dans les yeux
et réparent les coeurs blessés
Il meurt lentement
celui qui ne change pas de cap
lorsqu'il est malheureux
au travail ou en amour,
celui qui ne prend pas de risques
pour réaliser ses rêves,
celui qui, pas une seule fois dans sa vie,
n'a fui les conseils sensés.
Vis maintenant!
Risque-toi aujourd'hui!
Agis tout de suite!
Ne te laisse pas mourir lentement!
Ne te prive pas d'être heureux!"

> En second lieu, j'ai appris que ce poème avait été attribué à Pablo Neruda, mais que l'original avait été écrit par Martha Medeiros, le voici :

"Muere lentamente
quien se transforma en esclavo del hábito,
repitiendo todos los días los mismos trayectos,
quien no cambia de marca.
No arriesga vestir un color nuevo y no le habla a quien no conoce.
Muere lentamente
quien hace de la televisión su gurú.
Muere lentamente
quien evita una pasión,
quien prefiere el negro sobre blanco
y los puntos sobre las “íes” a un remolino de emociones,
justamente las que rescatan el brillo de los ojos,
sonrisas de los bostezos,
corazones a los tropiezos y sentimientos.
Muere lentamente
quien no voltea la mesa cuando está infeliz en el trabajo,
quien no arriesga lo cierto por lo incierto para ir detrás de un sueño,
quien no se permite por lo menos una vez en la vida,
huir de los consejos sensatos.
Muere lentamente
quien no viaja,
quien no lee,
quien no oye música,
quien no encuentra gracia en si mismo.
Muere lentamente
quien destruye su amor propio,
quien no se deja ayudar.
Muere lentamente,
quien pasa los días quejándose de su mala suerte
o de la lluvia incesante.
Muere lentamente,
quien abandona un proyecto antes de iniciarlo,
no preguntando de un asunto que desconoce
o no respondiendo cuando le indagan sobre algo que sabe.
Evitemos la muerte en suaves cuotas,
recordando siempre que estar vivo exige un esfuerzo mucho mayor
que el simple hecho de respirar.
Solamente la ardiente paciencia hará que conquistemos
una espléndida felicidad."

(Martha Medeiros)

La vérité est rétablie !

 

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